
La préparation mentale étant une discipline relativement récente et spécifique, peu de références historiques ou d’articles scientifiques traitent de ce sujet. Pour en connaître ses origines, il est ainsi nécessaire de s’intéresser à la psychologie du sport .......
Nous avons tous déjà entendu ce genre de propos dans les salles lors de compétitions de badminton sans forcément réfléchir à leur sens ou à leur véracité. Le mental se résumerait il à la performance et au fait de réussir en fin de match ? ......
Dans la culture orientale, on ne parle pas d’ego, on le pratique. Si l’on veut diminuer son ego, il ne faut pas de grands discours mais des exercices. La théorie découle de la pratique. En occident, c’est l’inverse. Nous avons d’abord besoin de « comprendre » avant de se mettre à l’épreuve.......
Plusieurs techniques existent, la plus utilisée dans le cadre du sport consiste à porter une attention ouverte à ce qui se passe en soi et autour de soi.
Nombreux sont les pouvoirs attribués aujourd’hui, en Occident, à la méditation de pleine conscience. Celle-ci trouve son origine dans les enseignements de Bouddha, mais quelle action a-t-elle réellement ?
De plus en plus d’athlètes de haut niveau ont recours à des "préparateurs mentaux" afin d’améliorer leurs performances. Un décryptage scientifique passionnant sur l’apport des neurosciences dans le domaine sportif, à l’approche des Jeux Olympiques de Tokyo.
Professeur des universités à l’Université Claude Bernard Lyon 1 et membre honoraire de l’Institut Universitaire de France, Aymeric Guillot concentre ses recherches depuis plus de 15 ans sur les bénéfices du travail mental dans le développement et le recouvrement des fonctions motrices, ainsi que sur la plasticité cérébrale induite par les représentations mentales.
La Préparation mentale est « un entraînement qui consiste à développer les habiletés mentales et cognitives dans l’objectif d’optimiser la performance personnelle (ou collective) du (des) sportif(s) tout en favorisant le plaisir de la pratique et l’autonomie ». La pratique s’appuie sur des publications scientifiques de la psychologie du sport et respecte la charte éthique de la Société Française de Psychologie du Sport.